Élisabeth Huppert
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Naissance | |
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Nationalité | française |
Formation | École nationale d'administration (- Institut d'études politiques de Paris Faculté de droit et des sciences économiques de Paris (d) |
Activité | Ecrivain, poète, artiste plasticienne, scénariste, actrice, productrice de radio |
Fratrie | Rémi Huppert Caroline Huppert Isabelle Huppert |
A travaillé pour | France Culture |
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Site web | www.helioks.com |
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Élisabeth Huppert, née le dans le 8e arrondissement de Paris est une écrivaine, poète, artiste plasticienne et cinéaste française.
Biographie
Jeunesse et études
Élisabeth Huppert est la fille de Raymond Huppert, industriel, et d'Annick Beau[1]. Elle est la sœur de Rémi Huppert, Caroline Huppert et Isabelle Huppert.
Élisabeth Huppert a suivi ses études à la faculté de droit et des sciences économiques de Paris, puis est diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris (section Service public, 1969)[2]. Elle est une ancienne élève de la promotion 1973 « François Rabelais » de l'École nationale d'administration[1].
Filmographie
- 1972 : La Mouche bleue de Marcel Aymé
- 1973 : Projection privée de François Leterrier
- 1975 : Le Bougnoul de Daniel Moosmann
- 1976 : Silence... on tourne ! de Roger Coggio (+ coscénariste)
- 1978 : On peut le dire sans se fâcher de Roger Coggio (+ coscénariste)
- 1980 : C'est encore loin l'Amérique ? de Roger Coggio (+ coscénariste)
- 1981 : écriture, mise en scène et interprétation des courts métrages Métroparoles et Métropéra[1]
- 1981 : Le Rat[1] (court métrage) écriture, mise en scène et interprétation Elisabeth Huppert
- 1981 : Le Rat[1] (téléfilm) Prix du Jury au festival de Cannes 1981
- 1981 : Une affaire d'hommes de Nicolas Ribowski
- 1981 : Anthelme Collet ou Le brigand gentilhomme (télésuite)
Théâtre
- 1974 : Dreyfus de Jean-Claude Grumberg, mise en scène Jacques Rosner, Théâtre de l'Odéon, Théâtre de Paris
- 1975 : Comédie de Beckett mise en scène Henri Ronse, Théâtre de l'Artistic Athévains
Publications
Romans
- La Terrasse ou Le temps d'une chute, Gallimard, 1974.
- L'homme chewing-gum et la femme-ventre, éditions Hallier, 1976.
- Le Dernier Homme de sainte Sarah, Jean-Jacques Pauvert chez Mazarine (Fayard), 1985.
Poésie
- La Reine Victoria a une robe pleine de taches, 1981[3]
Notes et références
Liens externes
- Site officiel
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- Allociné
- IMDb
- Unifrance
- Ressource relative au spectacle :
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