Abdelkader Hadj Ali


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Abdelkader Hadj Ali
Biographie
Naissance
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Sidi SaadaVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
Île-de-FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
française (à partir de )
Algérie françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Autres informations
Partis politiques
Parti communiste français
Étoile nord-africaineVoir et modifier les données sur Wikidata

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Abdelkader Hadj Ali, né le au douar Sidi Saada près de Relizane dans l'ouest algérien et mort en en région parisienne, est un militant communiste franco-algérien.

Biographie

Il émigre à l'âge de 18 ans en France métropolitaine, où il commence à travailler comme vendeur en quincaillerie à Paris[1].

Il obtient la citoyenneté française en 1911, et est mobilisé durant la Première Guerre mondiale au sein de l'armée française où il obtient le grade de sergent[2].

Militant du Parti communiste français dès sa création, en , Hadj Ali est le premier Algérien à s'impliquer dans l'action politique anti-coloniale. Il milite au sein de l'Union intercoloniale (organe satellite du PCF) dont il devient le dirigeant aux côtés du vietnamien Hô Chi Minh. Il représente le parti communiste en tant que candidat aux élections législatives et municipales à Paris en 1924 et 1925[3].

Abdelkader Hadj Ali cumulait deux fonctions, membre du Comité central du PCF et président de l'Étoile nord-africaine lors de la création de celle-ci en 1926[4].

Il résidait à Brunoy en 1933[2].

Notes et références

  1. René Gallissot, « HADJ ALI Abdelkader », dans Dictionnaire Algérie, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
  2. a et b Archives de Paris, D4R1 1743, classe 1903, Feuillet matricule no 819 d'Abd El Kader Hadjali.
  3. Archives départementales Seine-Maritime 2Z 39, 40.000 ouvriers parisiens ont voté pour le communiste Hadjali Abdelkader, publication PCF en arabe, mai-juin 1924.
  4. René Gallissot (dir), Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier, Maghreb, Maroc, des origines à 1956, L'Atelier, 1998.

Liens externes

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    • « Maitron »
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