Eugène Anspach
![Page d’aide sur l’homonymie](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a9/Logo_disambig.svg/20px-Logo_disambig.svg.png)
Pour les articles homonymes, voir Anspach et Famille Anspach.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/7e/Circle-icons-profile.svg/35px-Circle-icons-profile.svg.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/27/Nuvola_Belgian_flag.svg/35px-Nuvola_Belgian_flag.svg.png)
Cet article est une ébauche concernant un homme politique belge.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/57/Eug%C3%A8ne_Anspach.jpg)
Gouverneur de la Banque nationale de Belgique | |
---|---|
- |
Baron |
---|
Naissance | ![]() Région métropolitaine de Bruxelles ![]() |
---|---|
Décès | ![]() Région métropolitaine de Bruxelles ![]() |
Nationalité | belge ![]() |
Activités | Journaliste, banquier ![]() |
Père | |
Fratrie | Jules Anspach Eduard Anspach (d) ![]() |
Enfants | Armand Anspach-Puissant (d) Lucien Anspach (d) ![]() |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e9/Blason_famille_Anspach_%28Belgique%29.svg/100px-Blason_famille_Anspach_%28Belgique%29.svg.png)
Eugène Guillaume Anspach, né à Bruxelles le 7 février 1833 et décédé dans la même ville le 21 décembre 1890, fut un homme politique belge francophone libéral.
Eugène Anspach fut avocat et financier; correspondant politique du journal La Meuse.
Il fut gouverneur de la Banque nationale de Belgique de 1888 jusqu'à son décès en 1890[1].
Il était membre de la Société des douze[2].
Il est inhumé au Cimetière de Bruxelles à Evere.
Voir aussi
Notes et références
- ↑ « Anspach, la rareté d'Etterbeek », sur lalibre.be,
- ↑ Jules Garsou, Jules Anspach. Bourgmestre et transformateur de Bruxelles (1829-1879), Bruxelles, 1942, p. 99 : « Depuis l'an de grâce 1835, la Société des Douze réunissait des Bruxellois de distinction et se renouvelait par cooptation à chaque décès. On y banquetait plusieurs fois par an ; aux charmes de la table s'associait les joies de l'esprit. En vertu d'une décision prise le 16 décembre 1876, chaque membre, sous peine d'amende, devait y aller, aux prochaines agapes, tout au moins d'un quatrain. Au 248e banquet, donné le 20 janvier 1877, huit s'exécutèrent : Faider, Pardon, Lavallée, Auguste Orts, Eugène Anspach, Albert Picard, Émile De Mot, Jules Anspach ».
Portail de la politique belge