Le Cellier

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Le Cellier
Le Cellier
Le bourg du Cellier.
Blason de Le Cellier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Ancenis
Maire
Mandat
Philippe Morel
2020-2026
Code postal 44850
Code commune 44028
Démographie
Gentilé Cellariens
Population
municipale
3 992 hab. (2021 en augmentation de 8,89 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 13″ nord, 1° 20′ 43″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 95 m
Superficie 35,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nort-sur-Erdre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Cellier
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Cellier
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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Le Cellier
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Le Cellier
Liens
Site web https://www.lecellier.fr/
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Le Cellier est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle faisait partie du Pays nantais, pays historique de Bretagne.

Géographie

Situation de la commune du Cellier dans le département de la Loire-Atlantique

Le Cellier est situé sur la rive nord de la Loire, à 18 km à l'est de Nantes et 17 km à l'ouest d'Ancenis.

Deux îles de Loire dépendent administrativement de la commune : l'île Neuve et l'île Dorelle.

Communes limitrophes du Cellier
Saint-Mars-du-Désert Ligné Couffé
Mauves-sur-Loire Cellier Oudon
Orée d'Anjou
Maine-et-Loire
  • Panorama du bourg du Cellier à Vandel depuis l'Auberdière
    Panorama du bourg du Cellier à Vandel depuis l'Auberdière
  • Panorama du Cellier vu de la Coindassière
    Panorama du Cellier vu de la Coindassière
  • Vignes surplombant la Loire au Cellier
    Vignes surplombant la Loire au Cellier
  • Vallée de La Loire
    Vallée de La Loire
  • Beau Rivage
    Beau Rivage

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Loire-Atlantique.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 768 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Nort-sur-Erdre à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 760,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

Typologie

Le Cellier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,2 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), forêts (21,5 %), zones urbanisées (7,7 %), prairies (7 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), cultures permanentes (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Cellarium au XIIe siècle[13].

Le toponyme « Le Cellier » vient du latin cellarium, "garde-manger". Un cellier aurait été implanté sur cette commune viticole[14].

Le Cellier possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit L'Çelier selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [lsə.ljə][15]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Keller[13].

Histoire

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Moyen Âge

Selon la légende, saint Méen, de passage au Cellier à son retour de Rome, y aurait tué un dragon et créé un établissement religieux. Le prieuré Saint-Méen est attesté par la suite, détruit à l'époque des invasions normandes, rétabli au XIIe siècle.

Il semble qu'un péage fluvial ait existé dès le IXe siècle, commandé par une forteresse située à l'emplacement actuel des « Folies-Siffait », appelée par la suite « Château-Guy », du nom d'un comte de Nantes et responsable de la marche de Bretagne. À la fin du XIVe siècle, le siège du péage est transféré à Champtoceaux.

Le château de Clermont

Article détaillé : Château de Clermont (Loire-Atlantique).

Au XVIIe siècle, la famille Chenu « de Clermont », liée au prince de Condé, détient la charge de gouverneur des villes et châteaux de Champotoceaux et Oudon ; un de ses membres fait construire de 1643 à 1649 l'imposant château.

Sous le règne de Louis XVI il y fut établi une bergerie royale principalement destinée à l'acclimatation du mouton mérinos, race qui fut installée au hameau rustique de la Reine à Trianon ; cet établissement existera encore sous la Restauration[Note 4].

Au XVIIIe siècle , le château passera aux familles de Claye, La Bourdonnaye, de Liré. En 1791 le domaine de Clermont passe aux Juchault des Jamonières[16], jusqu'en 1854. Par la suite, le château devient propriété des familles de Lareinty-Tholozan de 1854 à 1860, Nau de Maupassant - nom « relevé » et assorti sans droit du titre de comte - de 1860 à 1963 et enfin des De Funès de Galarza de 1967 à 1986.

  • Château de Clermont.
    Château de Clermont.
  • Château de Clermont construit sur le plateau "Montclair" et achevé en 1649
    Château de Clermont construit sur le plateau "Montclair" et achevé en 1649
  • Château de Clermont
    Château de Clermont
  • Château de Clermont. Photo Drone 2018. Le Château face à un océan de nuages un matin d'automne.
    Château de Clermont. Photo Drone 2018. Le Château face à un océan de nuages un matin d'automne.

La Révolution et l'Empire

Pendant la guerre de Vendée, le domaine est occupé par l'armée républicaine qui en fait un poste d'observation pour surveiller la Loire.

XIXe siècle : les Siffait et les Jamonières

Les années 1820 à 1840 sont marquées par une famille originaire de la Somme, celle des Siffait. En 1816, Maximilien Siffait (1780-1861) achète le domaine de la Gérardière, qui inclut le site de l'ancien Château-Guy[Note 5] et commence des travaux de construction qu'il va poursuivre, malgré la mort de son épouse en 1819, jusqu'à la mort de sa fille en 1830 et qui produisent l'ensemble ensuite appelé « Folies Siffait ». Ces travaux occupent un assez grand nombre de travailleurs locaux.

En même temps, Maximilien Siffait entre dans le conseil municipal avant d'être nommé maire en 1822. En 1830 il abandonne son mandat, puis quitte le Cellier, mais quelques années après, son fils Oswald[Note 6] (1813-1877) revient sur le domaine de la Gérardière et est à son tour maire de 1841 à 1847.

Durant son mandat Maximilien Siffait est en conflit avec le baron des Jamonières, toujours propriétaire du château de Clermont, parce qu'il se serait approprié des terres communales. En 1830, il est opposé à ce que le baron devienne maire à sa place ; mais celui-ci y parvient en 1832 (jusqu'en 1837). À la génération suivante, les deux familles se réconcilient puisqu'en 1870, Arthur Antonin Juchault des Jamonières épouse Anna Siffait, la fille d'Oswald.

Le , la forêt du Cellier (207 hectares) est vendue par Henri d'Orléans, duc d'Aumale, pour 140 000 francs à plusieurs riches négociants nantais parmi lesquels M. Besnier, beau-père du notaire puis « promoteur » Louis Pommeraye (1806-1850) ainsi que celui-ci, qui a laissé son nom au célèbre passage de cette ville (1840-1843) qui causa sa ruine.

Pommeraye, qui fut dès 1840 trésorier-adjoint de la Société des Courses de Nantes, modifia la maison principale du hameau de la Pégerie pour en faire sa résidence de campagne, où après sa faillite (1849) il se réfugia avec les siens[17].

Les communications

Le Cellier a eu une activité portuaire notable (batellerie de la Loire), attestée par une cale, encore existante, jusqu'à l'arrivée du chemin de fer à la fin des années 1840.

La ligne de chemin de fer est installée sur le chemin de halage; un tunnel fut percé au niveau de la propriété Siffait, puis un second au domaine de Clermont.

Politique et administration

L'article histoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination des maires de la commune.
Liste des maires du Cellier
Période Identité Étiquette Qualité
Liste des maires avant 1947
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1809 1816 M. Letourneau   notaire
1816 1822 Jean-François Le Masne[18]   directeur de la bergerie royale de Clermont
1822 août 1830 Maximilien Gabriel Siffait   propriétaire du domaine de la Gérardière, constructeur des Folies Siffait
septembre 1830 1832 Pierre Saupin   précédemment adjoint chargé de l'état civil
1832 1837 baron des Jamonières[Note 7]   propriétaire du château de Clermont
1837 1841 Mathurin-Pierre Blandin    
1841 1847 Albert Oswald Siffait[Note 8]   Propriétaire du domaine de la Gérardière
1847 1851 Philippe Robin    
1851   Pierre Leray    
1859   André Bétin    
1867   Jacques Mainguy    
1875 1880 Comte Léon Nau de Maupassant   Propriétaire du château de Clermont au Cellier
1880 mai 1888 Ernest Siffait (1841-1904)   Fils d'Albert Oswald Siffait
juin 1888 1919 Baron Raoul Maës Républicain
rallié
Avocat
Conseiller général de Ligné (1895 → 1919)
1919 octobre 1947 Francis Athimon (1871-1957) DVD Propriétaire à Nantes, maire honoraire
Conseiller général de Ligné (1919 → 1940 et 1945 → 1955)
Source :
 
octobre 1947 mars 1977 Édouard Tellier[Note 9]    
mars 1977 mars 2008 Philippe des Jamonières DVD Agriculteur
mars 2008 mars 2014 Gilles Bourdu[19] DVG Ingénieur chef d'entreprise
mars 2014 En cours Philippe Morel[Note 10] UDI Chef d'entreprise retraité
5e vice-président de la CC du Pays d'Ancenis

Population et société

Démographie

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Raison : Données obsolètes, zonage de 2010.

Selon le classement établi par l'Insee, Le Cellier fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[20]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 98 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 2 % dans des zones « très peu denses »[21].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 3 992 habitants[Note 11], en augmentation de 8,89 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4961 6671 8422 2202 1671 8872 1612 3112 387
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3082 2432 2662 3042 3312 3452 4102 5862 584
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5322 5462 5732 0521 9071 8351 8061 8981 851
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 8361 8442 0352 6813 1393 4493 5663 5583 618
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2014 2019 2021 - - - - - -
3 6843 9743 992------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 930 hommes pour 1 954 femmes, soit un taux de 50,31 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,2 
5,3 
75-89 ans
7,2 
17,5 
60-74 ans
17,3 
22,9 
45-59 ans
21,3 
20,3 
30-44 ans
19,5 
13,4 
15-29 ans
13,3 
20,0 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Équipements et services

Transports

Tunnel du chemin de fer. Domaine de Clermont

La gare du Cellier est desservie par des trains TER Pays de la Loire circulant entre Angers-Saint-Laud et Nantes.

Des autocars départementaux du réseau Aléop assurent les dessertes de la commune avec la ligne 346 entre Nantes et Saint-Mars-la-Jaille via Couffé et Mésanger.

Le réseau TAN dessert également la commune avec la ligne 67 afin d'assurer une correspondance avec la ligne C7 à Thouaré-sur-Loire. Le Cellier est ainsi, depuis le , la première commune non membre de Nantes Métropole à être desservie par le réseau TAN. Cependant, à partir de l'arrêt Droitière et jusqu'au terminus Le Cellier, la tarification Aléop est appliquée (ce tronçon est donc inaccessible avec un titre TAN)[28].

Personnalités liées à la commune

Patrimoine et culture locale

Lieux et monuments

Châteaux et demeures[29]

  • Le château de Clermont a été construit au XVIIe siècle ; il fut la dernière demeure de Louis de Funès.
  • Le manoir de la Vignette est inscrit au titre des monuments historiques.
  • Le château de La Forêt, construit vers 1815.
  • Les Folies Siffait sont un labyrinthe de terrasses et d'escaliers, envahi par la nature, édifié de 1816 à 1830 par Maximilien et Oswald Siffait ; le site, en restauration, qui surplombe la Loire est l'occasion de balades nostalgiques.
  • La « Villa Roy », villa construite sur la Loire au milieu du XIXe siècle pour la famille Pichery, transmise à leurs descendants, les Roy, qui l'habitent jusqu'à la mort de Mlle Augustine Roy, qui la donne à sa nièce Marie-Joseph Ecomard ; celle-ci la vend à la commune qui la rase pour créer un promontoire sur la Loire et un jardin public.
  • Le château de la Gérardière, du XIXe siècle, ancienne propriété de la famille Guillet de La Brosse, de Louis-François de Tollenare et de la famille Siffait.
  • Le château du Cerny, propriété de la famille Couillaud.
  • Le manoir du Pé-Bernard, du XVIIe siècle, propriété de la famille Hay de Slade, Viot, Couillaud et Delaunay.
  • La « Villa Château-Guy », du XIXe siècle, ancienne propriété du général Louis Étienne Thouvenin, de la famille Juchault des Jamonières.
  • La « Villa Saint-Méen », construit au XXe siècle pour Francis Athimon, devenue par la suite propriété de Robert Diat
  • Folies Siffait.
    Folies Siffait.
  • Villa Belle Couronne
    Villa Belle Couronne
  • Château de la Gérardière
    Château de la Gérardière
  • Château de la Forêt
    Château de la Forêt
  • Manoir du prieuré de Saint-Philbert
    Manoir du prieuré de Saint-Philbert
  • Domaine des Génaudières
    Domaine des Génaudières

Édifices religieux

  • La chapelle Saint-Méen.
    La chapelle Saint-Méen.
  • Chapelle du château du Cerny.
    Chapelle du château du Cerny.

Patrimoine industriel

Musée

Le « Musée de Louis », ouvert en juillet 2013 dans le bourg du Cellier, est consacré à l'acteur Louis de Funès qui résida dans la commune de 1967 à sa mort. Il fut créé par l'association du même nom, constituée en avec le soutien de la commune et du conseil général de la Loire-Atlantique[30]. En , il déménage pour être installé dans l'orangerie du château de Clermont. Le , il ferme définitivement ses portes, faute de subventions.

Héraldique

Blason Blasonnement :
De gueules à une grappe de raisin d'or, accostée de deux bourdons de pèlerin d'argent, et soutenue d'une burelle ondée du même ; au chef d'hermine.
Commentaires : Les bourdons évoquent les deux prieurés ayant existé sur cette commune viticole du Nord-Loire. Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M. Teiller (délibération municipale du ), enregistré le .

Devise

La devise du Cellier : « Vino Et Aspectu Juvat. »

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Le Cellier, sur Wikimedia Commons
  • Le Cellier, sur le Wiktionnaire

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • BnF (données)
    • GND
  • Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Insee (communes)
    • Ldh/EHESS/Cassini
  • Ressource relative à plusieurs domainesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Annuaire du service public français
  • Site de la mairie

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. En 1820 son directeur, Jean-François Le Masne, est maire de la commune. Cf. Administration.
  5. Un ensemble de bâtiments, toujours existants, de la fin du XVIIIe siècle, situé non loin de là, a reçu le nom de Châteauguy.
  6. Albert Oswald, pour l'état civil.
  7. Il peut s'agir de Louis-Marie, 1769-1842, ou de son fils Amédée, 1803-1881.
  8. Il est officier d'état civil le 10 août 1847 (mariages), mais plus à la fin de l'année.
  9. Réélu en 1953, 1959, 1965 et 1971
  10. Réélu en 2020.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Le Cellier et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. Rapide survol de l'histoire du Cellier sur www.lecellier.fr, consulté le 9 mars 2010.
  15. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  16. Cf. site du Cellier : [1].
  17. André Péron, Le passage Pommeraye (Quimper, éd.Ressac, 1984, puis Coiffard, 1996 - arch. pers.
  18. Cf. acte de mariage d'Aimée Marie Le Masne le 11 septembre 1820 (AD 44 Registres paroissiaux et d’état civil) : « fille de Monsieur Jean-François-de-Salles-Julien Le Masne, directeur de l'établissement royal de mérinos, maire du Cellier ». Un site généalogique ([2]) lui attribue les dates : 1733-1843, qui sont à vérifier.
  19. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Loire-Atlantique),‎ , p. 10.
  20. « Commune de Le Cellier (44028) », Insee (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Cellier (44028) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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  30. « Accueil », Musée de Louis (consulté le ).
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