Max Olivier-Lacamp

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Olivier (homonymie) et Lacamp.

Max Olivier-Lacamp
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Le HavreVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 69 ans)
MeudonVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Monoblet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Max Jules Alexis Marcel OlivierVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Correspondant de guerre, écrivain, journalisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Maurice Olivier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Séverine Olivier-Lacamp (d)
Gaël Olivier-Lacamp (d)
Ysabelle Lacamp
Aude Cox-Olivier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Le FigaroVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Prix Renaudot 1969
Œuvres principales

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Max Olivier-Lacamp, né Max Olivier le au Havre et mort le à Meudon[1], est un journaliste et écrivain français, lauréat du prix Renaudot en 1969 et du prix Albert-Londres en 1958.

Biographie

Max Jules Alexis Marcel Olivier est, sous le nom de Max Olivier-Lacamp, un grand reporter au Figaro. Cofondateur de l'Agence France-Presse à la Libération de la France, il arrive en Inde en comme correspondant de l'agence de presse française pour l'Asie moyenne (Pakistan, Afghanistan, Népal et Birmanie) et de l'Agence Havas. Il assiste notamment à la Partition des Indes, lorsque l'Empire des Indes gouverné par les Britanniques obtint son indépendance et fut scindé en 1947 pour créer l'Inde et le Pakistan.

Très marqué par son séjour en Inde, il déclare « Lorsque je suis arrivé en Inde, il m'a fallu un temps assez long pour m'adapter. Ma première impression a été, tout à la fois, de fascination et d'horreur... » et déclare « Les maharadjahs avaient droit de vie et de mort sur tous leurs sujets, et il se passait, dans le secret des cours princières, des scènes d'horreur dignes de la féodalité (...). En Inde, la plupart des gens sont sans nom, sans état-civil, et même pas comparables à des chiens qui, chez nous, sont identifiés »[2]. Ces événements et les drames qui leur sont associés l'ont inspiré dans son œuvre. Son ouvrage, Entre les deux Asies, est consacré à la différence entre l'Asie indienne et l'Extrême-Orient.

Il a résidé en Corée et y rencontre Pyong-You Hyun qui deviendra son épouse. Il est le père de cinq filles : Christine, Séverine, Gaël, Ysabelle et Aude.

Œuvre

Hommage

Une rue porte son nom à Monoblet.

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Télé 7 Jours, no 554, 5 décembre 1970, pages 80 et 81, à l'occasion de la diffusion du film Kim (1951) de Victor Saville le 11 décembre 1970 dans le cadre des Dossiers de l'écran ayant pour thème l'Inde.

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

  • Ressource relative à la rechercheVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • La France savante
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • Pays-Bas
    • Pologne
    • Israël
    • NUKAT
    • Norvège
    • WorldCat
v · m
Lauréats du prix Renaudot
Prix Renaudot
Années 1920
Années 1930
Années 1940
Années 1950
Années 1960
Années 1970
Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020
  • icône décorative Portail du journalisme
  • icône décorative Portail de la littérature française
  • icône décorative Portail du Gard